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Date: 2025
Abstract: • Nahamu’s position on the state of education for charedi children is set out in a paper published in September 2024. The paper made recommendations that require primary legislation. This bill is a welcome step towards ensuring every child receives a broad and balanced education, and we welcome the inclusion of provisions that will specifically improve the lives of charedi children. • This submission focuses on the following areas of the bill: Children not in school (clauses 24 to 29 and schedule 1) • Independent educational institutions (clauses 30 to 35) • Ofsted’s powers to investigate unregistered, and therefore illegal, independent schools (clauses 36 to 37) • Revised national curriculum (clause 41) • School admission arrangements (clauses 47 to 50) • The opening new schools (clauses 51 to 55). • While legitimate homeschooling should be supported, tighter provisions are needed to prevent misuse as a guise for unregistered, illegal schooling. This includes clear definitions of “efficient” and “full-time” education, standardised guidelines, and sufficient funding for oversight. • Current enforcement mechanisms, including SAOs, risk being ineffective without stronger accountability measures. Remedies must prioritise access to education over punitive approaches. • This submission underscores the need for targeted funding, strengthened oversight, and specific measures to address the unique challenges within charedi communities, ensuring all children, including charedi children, access their legal right to education
Date: 2025
Date: 2025
Date: 2025
Date: 2025
Abstract: This document is a consolidated summary of urgent policy priorities of the Jewish community, following the
antisemitic terrorist attack on the Heaton Park Hebrew Congregation on Yom Kippur (2 October 2025), the holiest day of the Jewish calendar. This attack was not just an attack on British Jews, but on British society and British values.

These priorities are based on consultations within and between leading community organisations, including the Board of Deputies, JLC, UJS, and CST, and reflect the focus of our engagement with government and others since the attack.

We have seen a series of welcome announcements from government in response, and we are actively seeking
further action and implementation across these priorities.

However, these measures on their own will not be sufficient to meet the long-term society-wide challenge of
confronting antisemitic hatred as it has manifested itself in recent years. What is needed is a Comprehensive Government Strategy on Antisemitism, and this paper reflects what that might encompass.

Building on existing initiatives, including the recent report of the Board of Deputies Commission on Antisemitism,
we will continue working with partners and experts, with government, and with all parts of our diverse community, to seek input on these priorities and to integrate them into a wider strategy that addresses the problem at its
deepest roots. This includes ensuring the relevance of these priorities for the whole of the UK, taking account of
administrative and legal variations in devolved nations and regions.
Date: 2025
Date: 2025
Abstract: CLe 10 octobre 2013, lors d’une réunion plénière à Toronto, l’Alliance internationale pour la mémoire de l’Holocauste (IHRA) a marqué un tournant dans la compréhension des manipulations historiques en introduisant l’expression « distorsion de la Shoah ». Cette nouvelle terminologie qui étend la réflexion sur les menaces posées par l’antisémitisme et le négationnisme, dépasse le simple ajout lexical. Elle reflète une prise de conscience accrue face à la complexité des discours visant à remettre en question la réalité historique de la Shoah.
Le « négationnisme », un mot inventé en 1987 par l’historien Henry Rousso dans son ouvrage Le Syndrome de Vichy, désigne les idées de ceux qui minimisent ou nient l’extermination des Juifs durant la Seconde Guerre mondiale. À l’époque, l’historien souhaitait rectifier l’usage inapproprié du terme « révisionnisme », souvent confondu avec celui de négationnisme, et rappeler que, dans une démarche scientifique, le révisionnisme se distingue clairement de ce dernier. Il expliquait alors :
Le révisionnisme de l’histoire étant une démarche classique chez les scientifiques, on préférera ici le barbarisme, moins élégant mais plus approprié, de « négationnisme », car il s’agit bien d’un système de pensée, d’une idéologie et non d’une démarche scientifique ou même simplement critique.
Le négationnisme, en tant qu’idéologie, cherche avant tout à effacer ou déformer la réalité de la Shoah. Toutefois, cette définition s’avère insuffisante pour désigner d’autres formes de falsifications historiques qui, plutôt que de nier directement l’événement, le réinterprètent de manière à le banaliser, le déformer ou le trivialiser…
Author(s): Kasianov, Georgiy
Date: 2025
Abstract: Cet article aborde la restauration de la mémoire de la Shoah en Ukraine, ainsi que le rôle, dans ce processus, de différents acteurs de la mémoire et de leurs actions. Cette question sera étudiée à la lumière des changements intervenus dans la politique historique ukrainienne au cours des années 1990-2010, à travers le prisme de l’interaction entre un récit national ethnocentré et la mémoire de la Shoah. Les choix mémoriels de l’Ukraine s’inscrivent dans ce qu’on pourrait qualifier de « modèle est-européen » au sein duquel domine un récit focalisé sur le groupe ethnique majoritaire qui y tient le rôle principal. L’histoire de l’Ukraine est celle des Ukrainiens ethniques et est racontée comme le long cheminement d’un peuple vers la création d’un État national (ou vers le rétablissement de celui-ci). On y observe enfin surtout des discours post-traumatiques et postcoloniaux, ainsi qu’une lecture des relations avec les pays voisins fondée sur des rivalités. Dans ce contexte, l’appropriation de la mémoire sociale (culturelle) de la Shoah et son inclusion dans le récit mémoriel officiel font inévitablement face à des difficultés.
En Ukraine, cette intégration rencontre les mêmes obstacles qu’ailleurs en Europe centrale et orientale et dans les pays baltes :
Premièrement, nous l’avons dit, on ne peut brosser le tableau complet de la Shoah sans se heurter au récit national canonique dans lequel la mémoire de la Shoah, que ce soit sous sa forme nationale ou transnationale, n’est pas présentée comme faisant partie de la mémoire collective…
Author(s): Ragaru, Nadège
Date: 2025
Abstract: To be valid, history must be predicated on absolute, uncompromising truth, not manipulation. Eighty years ago, 48,000 Jews were not deported from Bulgaria — while 11,343 other Jews were cruelly loaded on trains bound for Treblinka where they were murdered. These are two interdependent realities that cannot be and must not be allowed to be uncoupled.
Il suffirait de si peu. Au regard de maints États européens alliés, satellisés ou occupés par l’Allemagne nazie, la politique de la Bulgarie envers les populations juives pendant la Seconde Guerre mondiale se prête à une lecture moins sombre. Signataire du Pacte tripartite le 1er mars 1941, le pays ne participa pas à l’offensive allemande de juin 1941 contre l’URSS ; son armée ne prit aucune part à la « Shoah par balles » et ses citoyens n’apportèrent pas de contribution aux exactions des Einsatzgruppen, ces unités mobiles d’extermination du Reich. Le « vieux royaume de Bulgarie » (frontières d’avant avril 1941) ne procéda pas à l’internement systématique et à l’extermination sur son territoire de ses citoyens juifs à la différence, par exemple, de l’État indépendant croate ustaša, né du démantèlement du royaume de Yougoslavie après son invasion par les nazis en avril 1941. La Bulgarie ne connut pas non plus les atrocités des pogroms de Bucarest et de Iaşi perpétrés dans la Roumanie de 1941, cet autre allié du Reich. Enfin, la presque totalité de la communauté juive de Bulgarie, soit environ 48 000 citoyens, survécut à la guerre après que le gouvernement eut reporté, puis renoncé à déporter une partie, sinon de la totalité, de cette communauté…
Author(s): Forecki, Piotr
Date: 2025
Abstract: Lors du festival Open City organisé à Lublin, en octobre 2019, l’artiste Dorota Nieznalska a présenté une installation intitulée « Judenfrei (Bûcher numéro 1) ». Cette œuvre présentait un bûcher recouvert de pancartes partiellement brûlées, sur lesquelles figuraient les noms de localités où, entre 1941 et 1946, des pogroms contre les Juifs furent perpétrés par des Polonais. À proximité de l’installation, les organisateurs avaient disposé un panneau explicatif précisant que ces crimes furent commis en toute connaissance de cause par des membres des communautés locales, animés par des instincts bas, la haine, l’antisémitisme et l’appât d’un enrichissement facile. Przemysław Czarnek, alors voïvode de la région de Lublin et futur ministre de l’Éducation et des Sciences au sein du gouvernement du parti Droit et Justice (PiS), a vivement réagi. Il a dénoncé publiquement l’installation de Nieznalska, la qualifiant d’« acte antipolonais », tout en fustigeant le panneau d’information qu’il a accusé de véhiculer un « mensonge ». Il a exigé du maire de Lublin qu’il fasse retirer cette œuvre controversée. Face à cette critique, la chercheuse Joanna Tokarska-Bakir, spécialiste des pogroms, a dénoncé l’ignorance du voïvode et s’en est indignée : « Comment peut-on laisser libre cours à ses intuitions face à des études scientifiques irréfutables qui attestent l’existence des pogroms dénoncés par l’artiste ? »
Malheureusement, les seules intuitions de Przemysław Czarnek ne sont pas le cœur du problème…
Author(s): Joly, Laurent
Date: 2025
Abstract: Depuis les années 1990, l’usage des termes « révisionnisme » et « révisionniste » s’est imposé dans l’espace intellectuel et médiatique pour désigner, au-delà des auteurs d’extrême droite et faux savants niant l’existence des chambres à gaz, qualifiés de « négationnistes », tous ceux qui, d’une manière ou d’une autre, relativisent le génocide des Juifs et la complicité criminelle du gouvernement de Vichy. La négation d’un côté ; la minoration de l’autre. Dès 1990, l’historien Henry Rousso, auquel on doit l’introduction de la notion de « négationnisme » en France, évoquait une « histoire “révisionniste” de Vichy » à propos d’un ouvrage de François-Georges Dreyfus, Histoire de Vichy (Perrin), qui reprenait un certain nombre d’arguments pétainistes.
Mais, étonnamment, cet usage reste rarement explicité, alors qu’il a une histoire. L’objet du présent article vise à établir la généalogie et à retracer les évolutions et les lignes de force du contre-récit historique sur Vichy et les Juifs, de 1945 à nos jours. Pour cela, il se fonde sur l’étude de nombreux écrits et d’archives privées d’auteurs désireux de réhabiliter les dirigeants du régime pétainiste, de proposer une vision « pacifiante » des années noires ou d’aller à l’encontre d’une supposée doxa sur le sujet.Jusqu’à la fin des années 1960, les écrits justifiant la politique de Vichy et niant ou minimisant ses crimes sont d’abord et avant tout le fait d’avocats ou de parents des grandes figures liées à l’État français.
En juillet-août puis en octobre 1945, Philippe Pétain et l’ex-chef du gouvernement de Vichy Pierre Laval ont été jugés et condamnés à mort par la Haute Cour de justice pour trahison – la peine du vieux maréchal a été commuée en détention perpétuelle…
Date: 2025
Abstract: La culture mémorielle de l’Europe de l’Est a subi une transformation radicale après l’effondrement du communisme, du fait de l’« américanisation » de la Shoah, c’est-à-dire, pour reprendre les termes de Winfried Fluck, spécialiste de la culture allemande, un processus de démocratisation consistant à éradiquer toute complexité afin de rendre accessibles à un vaste public des événements complexes. De nouveaux musées ont été créés pour réécrire l’histoire de la Seconde Guerre mondiale d’un point de vue anticommuniste. Le langage utilisé ne correspondait ni à la culture mémorielle nationale, ni à la conceptualisation religieuse de la Shoah, ni au contexte linguistique et culturel de la vie dans l’Allemagne nazie avant et pendant le conflit. Divers auteurs ont analysé le phénomène des pays européens qui n’opposèrent aucune résistance à l’hégémonie de l’Allemagne nazie et de son programme politique. Ceux-ci s’accordent à dire que l’analyse devrait dépasser le clivage bourreaux-spectateurs-victimes.Il existe une contradiction flagrante entre la terminologie employée par la muséologie antifasciste avant 1989 et celle qui est en cours dans les nouveaux musées construits dans les années 2000. L’idée d’une coexistence avec l’Allemagne nazie est une question idéologique et politique majeure, notamment, aujourd’hui, avec la mise en relief illibérale de zones d’ombre précédemment ignorées dans le discours muséologique. Le présent article soutient que le terme « collaboration » n’est pas un bon critère de mesure des phénomènes qui ont fait l’objet de travaux récents…

Author(s): Becker, Annette
Date: 2025
Abstract: « Les mots n’appartiennent pas au ciel des idées. Qu’on le veuille ou non, ils ont des conséquences sur les faits. »
L’archevêque de Paris Jean-Marie Lustiger a offert en 1997 à l’un des plus grands historiens du génocide des Juifs, Saul Friedländer, une méditation sur le mal absolu et sur sa négation toujours répétée : « La Shoah est la noire lumière par laquelle il est possible de nommer par son nom l’horreur commise en Bosnie ou au Rwanda, les crimes de Pol Pot au Cambodge, ceux du génocide arménien. […] Dès lors, le négationnisme qui dénie les faits ou le révisionnisme qui les « trafique » en faisant des Juifs les artisans de leur propre destruction, ne sont pas à inscrire au compte du scepticisme ou de la relativité des opinions humaines. Ils deviennent significatifs d’une tentation universelle. Ils sont des figures du mensonge qui toujours nie pour fuir la vérité. »
Vingt-cinq ans plus tard, le 20 janvier 2022, l’Assemblée générale de l’ONU a adopté par les voix de 193 pays (l’Iran s’étant abstenu) une résolution sur la « négation [denial] et la déformation de l’Holocauste » (Holocaust distorsion) qui s’appuie terme à terme sur la convention de 1948 « sur la prévention et la répression du crime de génocide » : « Notant que le négationnisme fait référence au discours et à la propagande qui nient la réalité historique et l’ampleur de l’extermination des Juifs par les nazis et leurs complices pendant la Seconde Guerre mondiale, connue sous le nom d’Holocauste ou Shoah…
Author(s): Marincea, Adina
Date: 2025
Date: 2025
Author(s): Pearlman, Yehuda J.
Date: 2025
Abstract: This project seeks to gain an understanding of what spirituality means from a Jewish perspective and how it can be incorporated into the educational provision of Jewish schools in the UK. The literature review explores the relationship between spirituality and religion in general. Two approaches to spirituality are identified, one which promotes the experiential and the other which encourages critical realism. It is suggested that relational consciousness could be used as an educational model to harmonise the two approaches. Sources within Jewish literature are then explored, uncovering similar approaches and concluding with the description of a Jewish model for spiritual learning. The merit of a qualitative study is justified as best suited to investigate the perceptions and attitudes of Jewish studies teachers towards Jewish spiritual education. Using semi-structured interviews, a purposive sample of nine Jewish studies primary school teachers are asked what spirituality means to them, how they attempt to incorporate it into their religious studies lessons and what the impact of teaching spiritually on their students is. The responses are analysed using the inductive approach of IPA to reveal four overarching themes. Three themes frame spiritual education as the development of relationships within pupils, between themselves and others, and themselves and God. The fourth category focuses on the pedagogy deployed by the teachers and the challenges they face in delivering spiritual education. The research highlights two approaches to spiritual education, with one group of teachers preferring an extrinsic approach, imbuing their lessons with meaning and purpose. The other group view spirituality as an intrinsic quality that when nurtured, brings to the fore creativity and individuality. The centrality of a philosophy of God’s immanence as a foundation for spiritual education is emphasised and a model which promotes dialogue, relationships and community is presented as one that could be implemented to deliver Jewish spiritual education.
Author(s): Hutter, Michael
Date: 2025
Date: 2025
Abstract: While far-right organizations often differ in their specific agendas—shaped by the political and geographical contexts in which they operate—antisemitism and anti-Jewish sentiment remain recurring elements across most of them. The Finnish Blue and Black Movement (Fin. Sinimusta liike, SML) was initially founded as an organization, later registered as a political party, and subsequently had its party status revoked in April 2024. As of 2025, it is seeking re-registration as a political party. Despite its brief history, SML has provoked public discussion throughout its existence, particularly regarding its ideological foundations. This study aims to situate the Blue and Black Movement within its broader context and examine the antisemitic rhetoric present in the communications of SML and its representatives. The analysis was grounded in Ruth Wodak’s approach of defining and identifying antisemitic content through a discourse–historical approach (DHA). The material examined includes public speeches and online textual content—such as social media posts—produced by the Movement and its candidates for the 2023 Finnish parliamentary election and those who were considered as candidates at the 2024 European Parliament elections. The results of the analysis indicate that through a combination of ethnic exclusion, Holocaust distortion, conspiratorial narratives, the Blue and Black Movement articulates a contemporary form of antisemitism that draws on ideological continuities with historical fascist traditions.
Author(s): Zielińska, Anna
Date: 2025
Abstract: Raport stanowi unikatową analizę, w której centralnym elementem jest uwzględnienie potrzeb osób pokrzywdzonych (the attendance to the needs of victims is at the centre). Opiera się na analizie danych jakościowych i ilościowych oraz uwzględnia aspekty prawne i kwalifikacje karnoprawne.

Jego głównym celem jest ukazanie społecznych mechanizmów i form współczesnego antysemityzmu w Polsce, a także wskazanie obszarów wymagających kroków przeciwdziałających temu zjawisku.

Jest to już drugi raport roczny, w którym oprócz informacji na temat wyników badań i statystyk publikujemy rozdziały tematyczne. Są one poświęcone trendom online, które zaobserwowaliśmy w tym roku jako rosnące, są nimi intersekcjonalne ataki seksistowskie na kobiety identyfikowane jako Żydówki oraz zaprzeczanie i zniekształcanie prawdy historycznej o Holokauście, a także korelacjom występowania incydentów antysemickich z wydarzeniami w kraju i na świecie, oraz rozdział poświęcony wyborom prezydenckim.

Spis treści:

Wstęp
Metodologia
Zestawienie incydentów antysemickie zgłoszonych w roku 2024
Wizualizacja skali i dynamiki incydentów antysemickich
Przykłady incydentów o podłożu antysemickim
Szczególne narażenie kobiet identyfikowanych jako Żydówki
Współczesny negacjonizm Holokaustu jako broń w debacie politycznej
Od polityki globalnej do przemocy symbolicznej: analiza eskalacji incydentów
Wybory prezydenckie
Podsumowanie
Opis organizacji
Działania Żydowskiego Stowarzyszenia Czulent
Publikacja powstała w ramach projektu „Online antisemitism in Poland: establishment of a legal aid helpdesk, reporting and advocacy activities”, finansowanego z Fundacji „Pamięć, Odpowiedzialność i Przyszłość” (EVZ), realizowanego przez Żydowskie Stowarzyszenie Czulent.
Author(s): Cowan, Paula
Date: 2025
Abstract: At the time of writing, one consequence of Israel’s response to the massacre that took place in Israel by Hamas on 7 October 2023 is an unprecedented surge in global antisemitism. This massacre was the largest mass murder of Jewish civilians since the Holocaust; its scale, brutality and sadism have led to comparisons with the Holocaust, and to more and deeper sensitivities and controversies in Holocaust Education. In an attempt to address this, the proposed chapter will discuss the relationship between Holocaust Education and Antisemitism Education, and its relevance to Religious Education (RE) in schools.

Holocaust Education comprises learning about and from the Holocaust (Cowan and Maitles, Understanding and teaching Holocaust education. Sage, 2017). The former focuses on the historical narrative; the latter focuses on moral issues related to active citizenship. Research findings in England (Foster, Pettigrew and Pearce et al., What do students know and understand about the Holocaust? Evidence from English secondary schools. Centre for Holocaust Education, UCL Institute of Education, 2016, p. 1) were that 68% of students (n = 7952 students) were “unaware of what ‘antisemitism’ meant”. Similarly, during a group interview, following their return from a visit to Auschwitz-Birkenau organised by the Archdiocese of Glasgow, Scotland, each of the four students indicated that they did not understand the term “antisemitism” (Cowan & Maitles, 2017, p. 139). Further, Short’s discussion of the failings of learning from the Holocaust included the lack of reference to “the key role played by Christian antisemitism in preparing the groundwork for the Holocaust” (Short, Learning from genocide? A study in the failure of Holocaust education. Intercultural Education, 16(4), 367-380, 2005; Failing to learn from the Holocaust. In As the Witnesses Fall Silent: 21st Century Holocaust Education in Curriculum, Policy and Practice (pp. 455–468), 2015). Cowan and Maitles (2017, p. 56) further assert that historical antisemitism contributes to understanding present-day antisemitism.
Date: 2025
Abstract: This article examines the role of antisemitism in international politics. Drawing on a genealogy of European antisemitism, it proposes the analytic framework of the ‘enemy within’ to foreground instances when Jewish ‘enemy’ figures are positioned on both sides of the boundaries organising international political orders. This particular permutation of (racial) bordering is porous and ambivalent, even or especially as ‘hard’ and binary racial borders are simultaneously enforced. The article identifies four characteristics of the Jewish ‘enemy within’: a shared origin story with European Christendom; simultaneous presence on both sides of a (racial) boundary; a prompting of fears around contagion, infiltration and assimilation; and deployment to legitimise strategies of hyper-vigilance, surveillance and purification. The genealogy traces how the Jewish ‘enemy within’ is mobilised in consolidation or defence of, first, Christian medieval order and, second, raced nation-states, economies, and bodies, in modernity. In both periods, the Jewish ‘enemy within’ appears as both an insider and outsider whose perceived ambivalence threatens, and is mobilised to defend, religious, racial and political international orders. Finally, the article applies this framework to contemporary antisemitism. Overall, the article offers a novel engagement with antisemitism in International Relations and a tool for analysing complex forms of racial bordering in global politics.
Date: 2025