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Author(s): Rau, Vanessa M.
Date: 2018
Abstract: In recent years, Berlin has witnessed an ever-growing internationalization, predominantly through migration flows from all over the world. Its Jewish population has equally diversified: Berlin is now populated by Jews from the Americas, Europe and also by young Israelis who permanently live in the city. The migrant group of ‘Israelis in Berlin’ has attracted significant media attention in Germany, Israel and beyond and has often been portrayed as detached from the existing local Jewish community. My thesis interrogates this assumption and presents an ethnography which shows diverse and complex affiliations and Jewishness(es) entangled with nationality, ethnicity, religion, gender and sexuality. Through the immersion in ‘Jewish’ and ‘Hebrew’ Berlin, I span an interrelated ethnographic field which I construe as a scene. Focusing on a choir, and its connections to a synagogue and a queer Shabbat event, I investigate ‘how the scene constitutes itself as Jewish’. Combining ethnography with biographical-narrative interviews, I present how this scene is enacted and performed, embedded in the respective historical and socio-political contexts, and constituting itself by migration and conversion. By way of mirroring the biographies of migrants and converts, I argue that Jewishness in the scene is constituted by complexity rather than unity, ambivalence rather than certainty and contestation rather than agreement. The influence of Israeli migration to Berlin and the presence of Hebrew engenders the emergence of new ways of ‘being Jewish’. Under the specific representations of Jewishness in Germany, ‘being Jewish’ is always co-constructed alongside the negotiation over ‘being German’. Thus, by way of mapping trajectories of conversion and migration and their embeddedness in their respective socio-political contexts, I analyse processes of ‘becoming Jewish’ and their impact on this urban scene. In the framework of urban scenes, diaspora and secularism, I describe transformations towards new forms of urban (religious) socialities and aesthetics (music) and show how biographical research and the study of urban scenes offer profound insights towards new understandings of contemporary societies in the light of global transformations.
Author(s): Trom, Danny
Date: 2018
Abstract: Lorsqu’un tribunal allemand à Cologne décida que l’ablation du prépuce pour motif religieux relève de coups et blessures volontaires, il ne pensait pas faire de politique. Lorsque les porte-parole des Juifs en Allemagne s’indignèrent que cette décision revienne en somme à bannir les juifs du pays, éclata un scandale politique national aux proportions mondiales. La chancelière Angela Merkel, rapporte-t-on, réagit en disant « Je ne veux pas que l’Allemagne soit le seul pays au monde dans lequel les Juifs ne peuvent pratiquer leurs rites. Sinon on passerait pour une nation de guignols ». En réalité ce n’est pas le ridicule que l’Allemagne craignait, c’était qu’après avoir tenté d’éradiquer les Juifs d’Europe, avec un certain succès, elle affiche une inhospitalité foncière à l’égard des Juifs. Mais il n’est pas fortuit que ce soit précisément en Allemagne que les droits de l’homme, les droits les plus individuels, soient scrupuleusement approfondis jusqu’à une conclusion politiquement intenable.
Le tribunal de Cologne, en pénalisant la berit milah, ne fait pas de politique, il protège l’intégrité physique de la personne et déclenche pourtant un scandale politique et des réactions en chaîne qui poussèrent le législateur allemand à amender dans l’urgence cette embarrassante décision. Et les juifs, lorsqu’ils circoncisent, que font-ils exactement ? Les anthropologues ont échafaudés un ensemble d’hypothèses sur la fonction de la circoncision. Les réponses varient selon le groupe étudié, mais souvent se chevauchent…
Author(s): Bodenheimer, Alfred
Date: 2018
Abstract: Si l’on considère à deux ans de distance le débat sur la circoncision qui a secoué l’Allemagne en 2012, et du point de vue d’un combattant juif alors focalisé uniquement sur la circoncision juive de garçons, ma conclusion est que la circoncision a perdu son innocence. Certes, il y a toujours eu des livres de Juifs et des articles de non-Juifs pour s’en prendre à la circoncision ; et certes, il y eut de nombreuses discussions sur certaines pratiques, comme la Metzitza bePeh, la succion du sang par le mohel qui exécute la circoncision, par exemple quant à savoir si l’usage d’une paille en verre devait être rendu obligatoire – et malgré tout, la circoncision était un acte qui semblait aller de soi. Et quiconque souhaitait y renoncer pour son fils y renonçait.
Or, avec le débat sur la circoncision, qui a eu lieu dans une Europe centrale qui considère la religion avec méfiance dès qu’elle poursuit des buts autres que thérapeutiques, les choses ont changé d’un coup. Au prétexte des complications qui survinrent lors de la circoncision d’un garçon musulman, circoncision qui n’avait pour ainsi dire rien à avoir avec une berit milah (considérant l’âge du garçon, le lieu, les participants et les conditions de l’acte) – la circoncision a été prise dans une spirale de légitimations, qui n’avait pour ainsi dire rien à voir avec le rapport que la majorité des juifs entretiennent à l’égard de cette tradition, ou, pour employer ici le terme religieux, de cette mitsvah.
Date: 2018
Abstract: Partons d’un constat, qui est à l’origine de notre volonté – avec Danielle Cohen-Levinas – d’organiser ce colloque pour le penser collectivement : en juin 2012, un jugement de la cour d’appel de Cologne déclarait la circoncision d’un enfant pour des raisons religieuses constitutive d’atteinte à l’intégrité corporelle. Cette pratique très ancienne et commune au judaïsme et à l’islam était dès lors interdite dans toute l’Allemagne. Quelques semaines plus tard, l’Autriche et les hôpitaux universitaires de certains cantons suisses décidaient à leur tour d’un moratoire sur les circoncisions rituelles. Dans cette Allemagne repentante depuis des décennies, les Juifs se sont retrouvés de manière inattendue et soudaine au cœur d’une polémique puissante qui les renvoyait, aux côtés des musulmans, à une pratique décrétée mutilatrice, archaïque, voire barbare. Ce rituel, fondamental au point que son interdiction rendait impossible la présence juive en Allemagne, selon le Zentralrat der Juden, semblait contredire et bafouer des valeurs essentielles de la République fédérale. Ce débat s’est élargi, puisqu’en octobre 2013 c’est le Conseil de l’Europe qui publiait un avis préconisant de légiférer dans le sens d’une limitation, voire d’une interdiction de la circoncision rituelle à l’échelle du continent. L’affaire est sérieuse, une incompatibilité entre l’Europe et ses minorités juive et musulmane est explicitement énoncée, ce fait est sans précédent depuis la fin du nazisme.
Date: 2018
Abstract: There is consensus that experiences gained during immigration have an impact on health status. However, studies comparing health-related outcomes in homogeneous groups of immigrants living in different host countries are rare. In a sample of Jewish immigrants from the Former Soviet Union (FSU) in two different host countries, Germany and Israel, possible predictors of health-related quality of life (HRQoL) and satisfaction with life (SWL) were examined. In total, 359 Jewish immigrants from the FSU living in Germany (n = 180) and Israel (n = 179) completed the questionnaire measuring immigration-related and sociodemographic characteristics. HRQoL was assessed via Short Form Health Survey Version 2 (SF-12v2), and SWL via Satisfaction With Life Scale (SWLS). Hierarchical linear regression models were applied for analyzing immigration-related and sociodemographic predictors of HRQoL and SWL. Participants living in Israel scored higher on HRQoL, and no differences were found concerning SWL ratings. However, no direct influences of the host country were detected by predicting HRQoL and SWL scores. In both subgroups, immigration-related factors such as perceived discrimination or level of integration were found as significant predictors. In the face of different immigration waves in the host countries, Germany and Israel, the results display similarities rather than differences between the groups concerning the sociodemographic and immigration-related predictors on HRQoL and SWL. The findings using cross-cultural analysis level underscore the need of much more detailed future research on this issue.
Date: 2018
Abstract: Grundlagen
Die Migrationsforschung ergibt kontroverse Befunde über den Zusammenhang zwischen psychischer Gesundheit und Migration sowie zu den Faktoren, die die psychische Gesundheit von Migranten beeinflussen. Es gibt zwar Hinweise auf Unterschiede zwischen Migrantengruppen aus verschiedenen Herkunftsländern, allerdings wurden bisher fast keine empirischen Studien über einzelne Migrantengruppen in Österreich unternommen.

Methodik
In der vorliegenden populationsbasierten Untersuchung wurden Depressivität und Ängstlichkeit von 96 jüdischen Migranten aus der ehemaligen UdSSR mit einem nach Alter und Geschlecht gematchten Sample mit 101 Österreichern verglichen. Weiters wurde der Einfluss von Akkulturationseinstellung und Religiosität auf die psychische Verfassung der Migranten untersucht. Depressivität und Ängstlichkeit wurden mit dem Beck-Depression-Inventory (BDI), dem State-Trait-Anxiety-Inventory (STAI) und dem Brief Symptom Inventory (BSI) erhoben. Die Akkulturationseinstellung wurde mit dem Vancouver Index of Acculturation (VIA) gemessen, die Religiosität mit einer selbstentwickelten Skala erfasst.

Ergebnisse
Die Juden aus der ehemaligen Sowjetunion waren signifikant depressiver und ängstlicher als die gebürtigen Österreicher, jedoch nicht häufiger von klinischen Depressionen betroffen. Integration als Akkulturationsstrategie (d. h. Interesse sowohl an der Herkunfts- als auch an der Aufnahmekultur) ging mit der niedrigsten psychischen Belastung einher. Die Religiosität wirkte sich protektiv auf Depressivität, nicht jedoch auf Ängstlichkeit aus.

Schlussfolgerungen
Die vorliegende Untersuchung erlaubt erste Rückschlüsse auf die psychische Gesundheit einer bis dato kaum untersuchten Migrantengruppe und weist auf einen Bedarf nach größerer Öffnung der österreichischen Mehrheitsgesellschaft den Migranten gegenüber hin.
Date: 2018
Author(s): Özyürek, Esra
Date: 2018
Abstract: In the last decade there has been widely shared discomfort about the way Muslim minority Germans engage with the Holocaust. They are accused of not showing empathy towards its Jewish victims and, as a result, of not being able to learn the necessary lessons from this massive crime. By focusing on instances in which the emotional reactions of Muslim minority Germans towards the Holocaust are judged as not empathetic enough and morally wrong, this article explores how Holocaust education and contemporary understandings of empathy, in teaching about the worst manifestation of racism in history, can also at times be a mechanism to exclude minorities from the German/European moral makeup and the fold of national belonging. Expanding from Edmund Husserl’s embodied approach to empathy to a socially situated approach, via the process of paarung, allows us to reinterpret expressions of fear and envy, currently seen as failed empathy, as instances of intersubjective connections at work. In my reinterpretation of Husserl’s ideas, the process of paarung that enables empathy to happen is not abstract, but pairs particular experiences happening at particular times and places under particular circumstances to individuals of certain social standing and cultural influences. An analogy can be made to shoes. Anyone has the capacity to imagine themselves in someone else’s shoes. Nevertheless, the emotional reactions the experience triggers in each person will be shaped by individual past experiences and social positioning. Hence, grandchildren of workers who arrived in Germany after World War II to rebuild the country resist an ethnicized Holocaust memory and engage with it keenly through their own subject positions.
Date: 2018
Abstract: Изучаются процессы десакрализации и фрагментации коллективной памяти о Холокосте в коллективных пред-ставлениях посетителей Государственного музея Аушвиц-Биркенау. Исследование этих процессов опирается на те-оретическую модель, разработанную в современной культурсоциологии, которая является наиболее сенситивнойпри обращении к вопросам, связанным с сакрализацией и осквернением мест памяти. Рассмотрены возможностиэкспликации основных положений культурсоциологии в теоретическую рамку Memory Studies, а также концептуа-лизации таких понятий, как оппозиция сакральное чистое / сакральное нечистое, коллективная память, культурнаятравма. Далее в ходе исследования раскрываются основные стратегии классификации Государственного музея Ауш-виц-Биркенау как сакрального и профанного места памяти, детализируется тенденция, связанная с десакрализаци-ей этого места и описания его в категориях профанного
Author(s): Tóth, Katalin
Date: 2018
Date: 2018
Author(s): Byford, Jovan
Date: 2018
Abstract: The article analyses the longstanding ambition of the nationalist elite in Serbia to have the site of the former Nazi concentration camp Sajmište in Belgrade transformed into a ‘Serbian Yad Vashem’, i.e. a memorial to Serbian victims of genocide in the Independent State of Croatia and the suffering of Serbs in the Ustasha-run concentration camp Jasenovac in Croatia. By deconstructing various assumptions about the historical link between Sajmište and Jasenovac which have been used to justify this initiative, the chapter draws attention to the tradition of manipulation of the history of the two camps in Serbia. It also shows that the origins of the contentious interpretation of the history of Sajmište, lie, in part, in the ‘memory wars’ between Serbian and Croatian nationalists who, in the 1990s, skilfully manipulated the history of both Sajmište and Jasenovac, all in the context of mutual accusations of ‘genocidal tendencies’, complicity in the Holocaust and antisemitism. Therefore, debates about Sajmište and its links with Jasenovac should be seen as yet another example of the interdependence between Serbian and Croatian nationalist discourses, which, over the past three decades have resisted attempts to forge a historically grounded culture of remembrance of the victims of the Second World War in Yugoslavia. Also, through the story of the memorialisation of Sajmište, the chapter points to the lasting effect which events of the 1990s have had on historical memory in Serbia, especially in relation to the Holocaust, and other crimes perpetrated in Yugoslavia between 1941 and 1945.
Author(s): Pignatelli, Marina
Date: 2018
Date: 2018
Abstract: Among researchers of Antisemitism there is a relative consensus that at least some criticisms of Israel may indeed be a form of expressing Antisemitic prejudice in a more socially approved manner. However, the relations between Antisemitism and anti-Israelism are yet to be fully explained, especially since the issue is inextricably linked with the dynamic of the Israeli-Palestinian conflict. The two presented studies have two purposes: firstly, to measure Polish attitudes towards the Israeli-Palestinian conflict and, secondly, to establish the relationship between anti-Israelism and anti-Palestinism and more traditional types of prejudice, like Antisemitism and Islamophobia. In the first study (N = 301) we constructed a questionnaire of perception of the Israeli-Palestinian conflict with three subscales: Rational approach to conflict, extreme pro-Israeli opinions and extreme pro-Palestinian opinions. In the second study (N = 190) we found that both Antisemitism and Islamophobia predict the way Poles perceive the conflict between Israel and Palestine and beliefs in Jewish conspiracy seem to play the biggest role here. There is also evidence anti–Israelism is expressed not by criticizing Israel, but rather by expressing full support for Palestine. The questionnaire presented in this article may be treated as an indirect measure of Antisemitic prejudice, expressed in a more socially approved manner. Our findings may shed a new light on anti–Israelism and anti-Palestinism.
Date: 2018
Author(s): Kovács, Éva
Date: 2018