Abstract: Staatsexamen am Feiertag? Arbeiten statt Neujahrsfest? Immer wieder kommt es im Alltag von Jüdinnen und Juden in Deutschland zu Konflikten zwischen religiösem Leben und weltlichen Ansprüchen und staatlichen Regelungen. Jüdische Studierende berichten davon, dass sie oft zwischen einem zügigen Studienabschluss und ihrem Glauben wählen müssen, da Prüfungstermine auf Samstag, also Schabbat, oder auf hohe jüdische Feiertage gelegt werden – ganz ohne Ersatztermine. Auch in der Arbeitswelt besteht oft kein Verständnis gegenüber der Befolgung der halachischen Arbeitsruhegebote. Alternative Prüfungstermine und Freistellungen von der Arbeit oder vom Schulunterricht für die Religionsausübung zu verweigern, verletzt aber die Religionsfreiheit und stellt eine unzulässige Benachteiligung dar.
Mit diesem Buch wird die Bedeutung der jüdischen Feiertage beleuchtet und gezeigt, wie der Gesetzgeber handeln müsste, soll die Religionsfreiheit von Jüdinnen und Juden in unserer Rechtsordnung den verfassungsrechtlich gebotenen Respekt erfahren.
Mit Beiträgen von Zsolt Balla, Daniel Fabian, Christian Gehring, Eric Haußmann, Susanna Kahlefeld, Rainer Kampling, Dorothea Marx, Sarah Serebrinski, Anna Staroselski, Heinrich de Wall
Herausgegeben vom Tikvah Institut und Volker Beck
Mit einem Vorwort von Volker Beck
Mit Grußworten von Patricia Ehret und Shila Erlbaum
Abstract: Cette recherche envisage la tension entre une conception englobante de la religion portée par les juifs orthodoxes et une conception privatisée et plurielle en vigueur dans la société française, une société laïque et sécularisée, des années 1980 à nos jours. Cette tension est explorée depuis ces deux points de vue. D’une part, elle interroge comment les juifs orthodoxes s’organisent pour ménager l’espace jugé nécessaire à leur pratique religieuse. Pour ce faire, elle explore leurs besoins, leurs demandes, ainsi que les stratégies qu’ils mettent en œuvre pour les porter. D’autre part, elle soulève la question de la gouvernance publique du religieux. Pour ce faire, elle étudie la manière dont l’État laïc appréhende une minorité religieuse, qui semble aller à contre-courant du mouvement de fond de la sécularisation. A partir d’un protocole de recherche mixte, et en mobilisant la sociologie électorale, la sociologie de l’action collective, l’analyse des politiques publiques, et des outils de sociologie de la religion, elle teste la consistance de l’intégralisme des juifs orthodoxes dans la société française. Elle réfléchit ainsi à la gouvernance de minorités religieuses intégralistes, à partir d’un autre cas que l’islam, et distingue ce qui relève d’une religion en particulier ou de l’orthodoxie. Elle montre une érosion de l’intégralisme religieux, du fait de réponses défavorables des institutions publiques et de la sécularisation qu’il ne parvient pas à enrayer.
Abstract: This response puts Tzuberi's analysis into a broader comparative context. First, the post-1990 attempt to create Jews in the image of the liberal-secular German nation-state met considerable resistance by the Central Council of Jews in Germany. In addition, the majority of post-Soviet Jews showed no interest in liberal Jewish theology or the fantasy of reviving the German-Jewish past. Second, the milieu of Judaizing Germans (core architects of German-Jewish revivalism) shows a strong resemblance to other attempts of escaping colonial whiteness, including patterns of what has been called »ethnic fraud.« Third, in comparison to other cases of minority repatriation, the German practice of expiatory demographic engineering was relatively cost-intensive, but contributed considerably to the country's »nation re-branding« after reunification. Fourth, the German politics of reforestation vis-à-vis its Jewish community points to the rise of a post-migratory »gardening state,« heavily invested in regulating its diverse population through a policy mix of migration, education and surveillance.