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Date: 2010
Date: 2008
Abstract: Depuis sa création, l’école juive n’a cessé d’évoluer. En multipliant ses structures, en augmentant
ses effectifs, en professionnalisant ses équipes d’encadrement, elle a su répondre aux
besoins communautaires de l’après guerre puis de la vague d’immigration des juifs d’Afrique
du Nord.
Aujourd’hui, un nouveau défi s’impose. L’école pour tous, s’adresse-t-elle vraiment
à chacun?
Tous les élèves n’ont pas les mêmes acquis socioculturels, ni les mêmes rythmes d’apprentissage,
pour certains les bases sont fragiles, le vocabulaire est succinct, d’autres ont des
difficultés de socialisation. La liste est longue et la gestion de l’hétérogénéité est complexe.
Cela fait une trentaine d’années que le retard scolaire est une des préoccupations
majeures des professionnels de l’éducation. Qu’en est-il dans l’école juive ?
Au cours de leur scolarité, à peu prés tous les élèves sont à un moment ou un autre en
difficulté d’apprentissage. Quelles sont les définitions et les réponses institutionnelles à
la difficulté, à l’échec scolaire et au handicap ?
Parallèlement à la communauté éducative nationale, la communauté juive a construit des structures
d’accueils et d’aides aux enfants et aux familles. Différents acteurs interviennent auprès
des enfants en difficulté : des éducateurs, des psychologues, des bénévoles. Il s’agit pour nous
maintenant de clarifier la mission de chacun pour renforcer leur complémentarité.
Où se situe l’école dans le vaste champ de l’éducation spécialisée, à quel moment
l’enseignant a-t-il la responsabilité d’une prise en charge de l’élève en difficulté et où
se situe les limites de cette intervention ?