Abstract: Depuis sa création, l’école juive n’a cessé d’évoluer. En multipliant ses structures, en augmentant
ses effectifs, en professionnalisant ses équipes d’encadrement, elle a su répondre aux
besoins communautaires de l’après guerre puis de la vague d’immigration des juifs d’Afrique
du Nord.
Aujourd’hui, un nouveau défi s’impose. L’école pour tous, s’adresse-t-elle vraiment
à chacun?
Tous les élèves n’ont pas les mêmes acquis socioculturels, ni les mêmes rythmes d’apprentissage,
pour certains les bases sont fragiles, le vocabulaire est succinct, d’autres ont des
difficultés de socialisation. La liste est longue et la gestion de l’hétérogénéité est complexe.
Cela fait une trentaine d’années que le retard scolaire est une des préoccupations
majeures des professionnels de l’éducation. Qu’en est-il dans l’école juive ?
Au cours de leur scolarité, à peu prés tous les élèves sont à un moment ou un autre en
difficulté d’apprentissage. Quelles sont les définitions et les réponses institutionnelles à
la difficulté, à l’échec scolaire et au handicap ?
Parallèlement à la communauté éducative nationale, la communauté juive a construit des structures
d’accueils et d’aides aux enfants et aux familles. Différents acteurs interviennent auprès
des enfants en difficulté : des éducateurs, des psychologues, des bénévoles. Il s’agit pour nous
maintenant de clarifier la mission de chacun pour renforcer leur complémentarité.
Où se situe l’école dans le vaste champ de l’éducation spécialisée, à quel moment
l’enseignant a-t-il la responsabilité d’une prise en charge de l’élève en difficulté et où
se situe les limites de cette intervention ?
Abstract: This study, originally commissioned by the Jewish learning disabilities charity, Langdon, draws on multiple data sources from the UK and around the world to estimate how many, and what proportions, of the Jewish population in the UK have some kind of learning disability.
Learning disabilities range in severity, from fairly mild learning difficulties such as dyslexia or dyspraxia, to much more severe cases such as Down's syndrome. This study looks at the full range, dividing the data into distinct categories, in order to provide estimates for organisations and charities working in this area of how many Jewish people in the UK are affected.
The report finds that just over 1% of British Jews has a severe or borderline learning disability, and a further 6% has some kind of mild learning difficulty. Prevalence among males is noticeably higher than among females.
The appendix to the report contains detailed data tables designed to be used by organisations and charities working in this area, to enable them to determine the probable scale of need according to severity of condition, age, sex, geographical area and religiosity.