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Date: 2022
Abstract: L’année 2021 est une année record avec 119 signalements. Le nombre le plus important depuis le début du recensement en 2001. • Cette augmentation pourrait être liée à l’opération « Gardiens des Murailles » opposant Israël au Hamas. Le conflit au Moyen-Orient sert régulièrement de prétexte à l’expression de l’antisémitisme sous couvert d’antisionisme. • L’année 2021 a également été marquée par la pandémie du COVID-19 qui a exacerbé les frustrations et peurs en tout genre. Les Juifs sont régulièrement pris pour cible étant tenus à tour de rôle responsables de la maladie, ou, en tirant profit. • Les signalements sur internet ont nettement augmenté. +62,75% en 2021 • Les signalements pour des actes antisémites commis dans l’espace public ont diminué. • La majorité des incidents relevés, hors internet, a eu lieu à Anvers et Bruxelles. • En mai, pendant le déroulement de l’opération « Gardien des Murailles » opposant Israël au Hamas, une moyenne de 6 actes antisémites par jour a été enregistrée. • 3 agressions physiques ont eu lieu à Anvers Het jaar 2021 is een recordjaar met 119 meldingen. Het grootste aantal sinds de volkstelling in 2001 begon. • Deze toename kan worden verklaard door het feit dat in mei 2021 de operatie «Guardian of the Walls» tussen Israël en Hamas plaatsvond. Het conflict in het Midden-Oosten wordt regelmatig gecoöpteerd om antisemitisme uit te drukken onder het mom van antizionisme. • Het jaar 2021 is ook gekenmerkt door de COVID-19-pandemie die frustraties en angsten van allerlei aard heeft verergerd. Joden worden regelmatig geviseerd en verantwoordelijk gehouden voor de ziekte of ervan te profiteren. • De berichten op internet zijn aanzienlijk toegenomen. +62,75% in 2021 • Het merendeel van de geregistreerde incidenten, buiten het internet, vond plaats in Antwerpen en Brussel. • In mei, tijdens Operatie Guardian of the Walls tussen Israël en Hamas, werden gemiddeld 6 antisemitische daden per dag geregistreerd. • 3 aanslagen vonden plaats in Antwerpen
Date: 2021
Abstract: 2020 zag een vermeerdering van signalementen ten belope van 36,5% tov 2019.
• Deze vermindering kan worden uitgelegd door het feit dat de Covid-19 pandemie in 2020 is begonnen
en de mensen heeft verplicht binnen te blijven gedurende meerdere maanden, zonder externe
contacten, hetgeen als gevolg heeft gehad de angst te versterken bij de geïsoleerde personen en de
meest zwakke geesten, alsook het gevoel van persecutie en de samenzweringstheorieën.
• De joden zijn ten alle tijden de zondebok geweest tijdens pandemieën en onzekere periodes. Het jaar
2020 heeft deze steretypen niet mogen tegenspreken.
• De signalementen op het Internet zijn in 2020 vermeerderd met 54,5%.
• Het merendeel van de vastgestelde incidenten, buiten het Internet, heeft plaatsgevonden te Antwerpen
en Brussel.


En 2020, on observe une augmentation de signalements de 36,5% par rapport à 2019.
• Cette augmentation peut s’expliquer par le fait qu’en 2020 a débuté la pandémie du COVID-19 qui
a contraint la population à rester confinée, sans contact extérieur pendant des mois. Cela a eu pour
conséquence d’augmenter les angoisses, sentiments de persécution et théories du complot chez les
plus fragiles et isolés.
• Les juifs ont de tout temps servi de bouc émissaire lors d’épidémies et périodes d’incertitudes. L’année
2020 n’aura pas échappé à ces stéréotypes.
• Les signalement sur internet ont nettement augmenté. +54,5% en 2020
• La majorité des incidents relevés, hors internet, a eu lieu à Anvers et Bruxelles.
Date: 2019
Abstract:
Antisemitisme.be recense, depuis l’année 2001, les actes antisémites commis sur l’ensemble du territoire belge et, chaque année, publie un rapport sur l’antisémitisme en Belgique.Dans ce document, vous découvrirez la liste de tous les incidents recensés, notre méthodologie de travail, ainsi qu’une analyse de l’année écoulée.
Les incidents recensés et analysés dans ce rapport sont ceux qui nous ont été communiqués ou qui ont fait l’objet d’une plainte pour racisme. Les chiffres repris dans cette analyse reflètent bien sûr une tendance et non une photographie exacte dans l’antisémitisme en Belgique.

Tant que les membres de la Communauté juive se sentiront, à juste titre, en insécurité, tant que les institutions juives auront besoin d’être protégées, tant qu’ils ne pourront pas circuler comme tout citoyen belge en toute sécurité lorsqu’il arbore un signe apparent de judaïté (kippa, étoile de David…), l’antisémitisme devra être combattu et les autorités politiques devront y mettre tous les moyens.


Sinds 2001, identificeert Antisemitisme.be antisemitische handelingen in het hele Belgische grondgebied, en publiceert jaarlijks een verslag over antisemitisme in België.

In dit document vind u onze werk methodologie en een analyse van het afgelopen jaar.

Incidenten geïdentificeerd en geanalyseerd in dit verslag zijn ofwel gecommuniceerd of dat het onderwerp van een klacht over racisme zijn geweest. De cijfers in deze analyse, zijn zeker als gevolg van een trend, maar geven niet een nauwkeurig beeld van antisemitisme in België.

Antisemitisme kan niet worden gekwantificeerd in aantallen, maar ook door de ernst van de incidenten, zoals de tragische ervaring die de Joodse gemeenschap zaterdag 24 mei, jl. heeft mee moeten maken.

Zolang de leden van de Joodse gemeenschap zich terecht onveilig voelen, de Joodse instellingen beschermd moeten worden, ze niet in staat zijn om veilig te bewegen net als elke andere Belg wanneer ze enig duidelijk teken van joodse identiteit (Kippa, Ster van David, …) dragen, moet antisemitisme bestreden worden en de politieke autoriteiten moeten alle middelen in deze strijd zetten.
Date: 2004
Abstract: Ce rapport contient:

une comparaison des actes antisémites pour les années 2000 à 2003;
le total des actes antisémites pour l’année 2003;
le total des incidents par type d’incident;
le total des incidents par type de cible;
le total des incidents par ville.


Analyse des incidents recensés en Belgique depuis le 1erjanvier 2003

28 actes à caractère antisémite ont été recensés en Belgique depuis le 1er janvier 2003.

Le nombre d’incidents à fortement diminué par rapport à celui de l’année dernière, puisqu’à la même époque, 62 d’incidents avaient été perpétrés à l’encontre de la communauté juive de Belgique, soit plus du double.

Nous avions établi la relation entre les incidents survenant en Belgique à la suite de l’actualité au Proche Orient.

La population belge étant lassée d’entendre parler de ce problème, elle s’est intéressée à d’autres thématiques telles que la guerre en Irak et les problèmes socio-économiques nationaux, ce qui peut expliquer la chute du nombre d’incidents au cours de cette année 2003.

Au sujet des actes à caractère antisémite que nous avons recensé depuis 11 mois, ceux-ci sont principalement composés d’agressions, d’insultes et de menaces faites à l’encontre des membres de la Communauté juive. Les bâtiments communautaires représentent ensuite la deuxième cible. Viennent alors la dégradation de biens appartenant à des membres de la communauté juive, un attentat à la bombe, la découverte d’un colis suspect, des graffitis, la profanation de tombes juives, la découverte de cocktails molotovs, des tentatives de pénétrations dans des bâtiments communautaires, ainsi que de nombreuses prises de renseignement.

Date: 2005
Abstract: Ce rapport contient:

une comparaison des actes antisémites pour les années 2000 à 2004;
le total des actes antisémites pour l’année 2004;
le total des incidents par type d’incident;
le total des incidents par type de cible;
le total des incidents par ville.


Analyse des incidents antisémites recensés au cours de l’année 2004

Du 1er janvier au 31 décembre 2004, 46 incidents antisémites ont été recensés en Belgique.

Les villes les plus touchées sont Anvers et Bruxelles, suivent Knokke, Gand, Charleroi et Hasselt.

Deux constats clairs peuvent être mis en avant pour cette année 2004:

Le premier est l’augmentation importante d’incidents à Anvers. Alors qu’en 2002, sur les 62 incidents recensés, 7 seulement ont été perpétrés à Anvers et que, pour l’année 2003, on n’en a compté que 3 sur 28, en 2004, 20 incidents antisémites ont été recensés sur le territoire de la province d’Anvers.
Quant au second constat, il pointe la différence claire de nature des incidents antisémites entre la ville d’Anvers et les autres villes du pays. Alors que les actes antisémites perpétrés sont principalement des insultes, menaces ou actes de vandalisme dans les autres villes, 7 des 9 agressions antisémites recensées en Belgique ont été commises à Anvers, dont le plus grave fut le coup de couteau dans le dos reçu par un jeune étudiant d’une yeshiva.
Ces constats ne relèvent aucunement du hasard et plusieurs raisons peuvent être avancées pour le confirmer. Tout d’abord, la grande majorité des victimes d’actes antisémites à Anvers sont les juifs orthodoxes. Ceux-ci sont victimes de bien plus d’actes antisémites que ceux recensés. Seulement, ces victimes ne réagissent que très peu. Ce n’est que grâce à un travail de sensibilisation des organisations juives anversoises que les victimes issues de cette communauté isolée prennent maintenant de plus en plus l’initiative de déposer plainte. En outre, les victimes d’agressions sont reconnaissables en tant que juives de part leur habillement (chapeau noir, kaftan noir, papillotes…) et constituent par conséquent une cible beaucoup plus facilement repérable pour les auteurs d’agression. Enfin, l’AEL (Arab European League) est bien implantée dans les milieux arabes anversois. Ses nombreux communiqués sur l’actualité au Proche-Orient, visant à combattre l’ennemi sioniste et à stigmatiser la ville d’Anvers comme la capitale du sionisme européen, devant, à leurs yeux, devenir la Mecque du combat pour la liberté du peuple palestinien, importent le conflit et amènent des jeunes souvent désoeuvrés à commettre de tels actes.

Enfin, les cibles restent à près de 75% des personnes physiques. Les bâtiments communautaires (centres, synagogues, musées) ont subis 5 actes de vandalisme ou menaces, tandis que les lieux publics ont fait l’objet de 4 actes de vandalisme (croix gammées, etc…).
Translated Title: 2005 Report
Date: 2006
Abstract: Ce rapport contient:

une analyse générale;
une comparaison des actes antisémites pour les années 2000 à 2006;
le total des actes antisémites pour l’année 2006;
le total des incidents par type d’incident;
le total des incidents par type de cible;
ainsi que le total des incidents par ville.

Analyse des incidents antisémites recensés au cours de l’année 2005

Du 1er janvier au 31 décembre 2005, 60 incidents antisémites ont été recensés en Belgique. Les villes les plus touchées sont Bruxelles et Anvers, suivent la région du Brabant wallon (banlieue sud de Bruxelles), Knokke, Namur et Eupen. Certains actes touchent plus largement toute la Belgique de par la spécificité du support (presse écrite, internet…).

Deux constats clairs peuvent être mis en avant pour cette année 2005 et confirment clairement les tendances rencontrées en 2004.

Le premier est le maintient d’un nombre important d’incidents à Anvers. Alors qu’en 2002, sur les 62 incidents recensés, 7 seulement ont été perpétrés à Anvers et que, pour l’année 2003, on n’en a compté que 3 sur 28, en 2004, 20 incidents antisémites ont été recensés sur Anvers et 19 nouveaux ont pu être enregistrés pour l’année 2005.

Quant au second constat, il pointe la différence claire de la nature des incidents antisémites entre Anvers et les autres villes du pays. Sur la base des incidents recensés, 75% des attaques sur les personnes ont été perpétrées à l’encontre de membres de la Communauté juive anversoise. A Bruxelles, on relève par contre une grande augmentation des actes de vandalisme (croix gammées, celtiques…).

Ces constats ne relèvent aucunement du hasard et plusieurs raisons peuvent être avancées pour le confirmer. Tout d’abord, la grande majorité des victimes d’actes antisémites à Anvers sont les juifs orthodoxes. Ceux-ci sont victimes de bien plus d’actes antisémites que ceux recensés. Seulement, ces victimes ne réagissent que très peu. Ce n’est que grâce à un travail de sensibilisation des organisations juives anversoises que les victimes issues de de la communauté orthodoxe prennent maintenant de plus en plus l’initiative de déposer plainte. Cette tranche de la communauté est plus facilement reconnaissable en tant que juive de par l’habillement de ses membres et constitue par conséquent une cible beaucoup plus facilement repérable pour les auteurs d’agression. Enfin, l’AEL (Arab European League) est très bien implantée dans la Communauté arabo-musulmane anversoise. Ses nombreux communiqués sur l’actualité au Proche-Orient, visant à combattre l’ennemi sioniste et à stigmatiser Anvers comme la capitale du sionisme européen, devant, à leurs yeux, devenir la Mecque du combat pour la liberté du peuple palestinien, importent le conflit et amènent des jeunes habilement manipulés à commettre de tels actes.

Le nombre d’actes antisémites peut paraître élevé puisqu’il égale presque les 62 actes recensés en 2002, année où s’est déroulée en Israël l’« Opération Rempart », opération qui a fait des vagues partout dans le monde et a, entre autres en Belgique et en France, été prétexte à l’importation du conflit et au passage à l’acte antisémite de certains au nom de l’antisionisme. Le nombre élevé d’actes antisémites ne signifie pas pour autant qu’il y a une augmentation de l’antisémitisme en Belgique mais est plutôt le résultat d’une meilleure communication des incidents et d’une meilleure collaboration avec les autorités compétentes.

Enfin, au niveau politique, deux résolutions du Sénat et du Parlement bruxellois ont été adoptées afin de demander aux autorités compétentes de réagir plus fermement contre l’antisémitisme, en poursuivant de façon systématique les auteurs d’actes antisémites, négationnistes et révisionnistes. Il est également demandé aux autorités compétentes de prendre toutes les mesures nécessaires pour assurer la protection nécessaire et indispensable des membres des diverses communautés dans le cadre de leurs pratiques religieuses ou lors de la fréquentation de leurs écoles et de leurs lieux communautaires. En 2004, l’ancienne ministre de l’Egalité des Chances, Marie Arena, avait déjà, suite à plusieurs actes antisémites graves, présenté un plan en 10 points pour lutter contre le racisme et l’antisémitisme. Toutes ces initiatives doivent encore être concrétisées dans les faits…
Date: 2014
Abstract: Antisemitisme.be recense, depuis l’année 2001, les actes antisémites commis sur l’ensemble du territoire belge et, chaque année, publie un rapport sur l’antisémitisme en Belgique.Dans ce document, vous découvrirez la liste de tous les incidents recensés, notre méthodologie de travail, une réflexion sur l’antisionisme ainsi qu’une analyse de l’année écoulée.
S’agissant du rapport 2013, vous n’y retrouverez pas de trace de l’attentat du 24 mai 2014 contre le Musée Juif de Belgique qui a fait 4 morts.

Vous n’y trouverez pas non plus les signalements les plus récents liés à Laurent Louis, Dieudonné et le congrès (interdit) de la dissidence européenne qui devait se tenir le 4 mai 2014 à Bruxelles.

Les incidents recensés et analysés dans ce rapport sont ceux qui nous ont été communiqués ou qui ont fait l’objet d’une plainte pour racisme. Les chiffres repris dans cette analyse reflètent bien sûr une tendance et non une photographie exacte dans l’antisémitisme en Belgique.

Comme la Communauté juive en a fait la tragique expérience ce samedi 24 mai 2014, l’antisémitisme ne se quantifie pas seulement par les chiffres mais aussi par la nature des incidents recensés.

Tant que les membres de la Communauté juive se sentiront, à juste titre, en insécurité, tant que les institutions juives auront besoin d’être protégées, tant qu’ils ne pourront pas circuler comme tout citoyen belge en toute sécurité lorsqu’il arbore un signe apparent de judaïté (kippa, étoile de David…), l’antisémitisme devra être combattu et les autorités politiques devront y mettre tous les moyens.


Sinds 2001, identificeert Antisemitisme.be antisemitische handelingen in het hele Belgische grondgebied, en publiceert jaarlijks een verslag over antisemitisme in België.

In dit document vind u een lijst van alle bekende incidenten, onze werk methodologie, alsook een reflectie op anti-zionisme en een analyse van het afgelopen jaar.

Met betrekking tot het verslag van 2013, hierin zal niets vermeld worden over de aanval van 24 mei 2014 tegen het Joods Museum van België, waarbij 4 doden zijn te betreuren.

Tevens zult u niets vinden van de meest recente rapporten met betrekking tot Laurent Louis en Dieudonné, noch van de (verboden) Europees Congres van Dissidentie welke op 4 mei 2014 zou worden gehouden in Brussel.

Incidenten geïdentificeerd en geanalyseerd in dit verslag zijn ofwel gecommuniceerd of dat het onderwerp van een klacht over racisme zijn geweest. De cijfers in deze analyse, zijn zeker als gevolg van een trend, maar geven niet een nauwkeurig beeld van antisemitisme in België.

Antisemitisme kan niet worden gekwantificeerd in aantallen, maar ook door de ernst van de incidenten, zoals de tragische ervaring die de Joodse gemeenschap zaterdag 24 mei, jl. heeft mee moeten maken.

Zolang de leden van de Joodse gemeenschap zich terecht onveilig voelen, de Joodse instellingen beschermd moeten worden, ze niet in staat zijn om veilig te bewegen net als elke andere Belg wanneer ze enig duidelijk teken van joodse identiteit (Kippa, Ster van David, …) dragen, moet antisemitisme bestreden worden en de politieke autoriteiten moeten alle middelen in deze strijd zetten.
Date: 2015
Abstract: Antisemitisme.be recense, depuis l’année 2001, les actes antisémites commis sur l’ensemble du territoire belge et, chaque année, publie un rapport sur l’antisémitisme en Belgique.Dans ce document, vous découvrirez la liste de tous les incidents recensés, notre méthodologie de travail, une réflexion sur l’antisionisme ainsi qu’une analyse de l’année écoulée.

Les incidents recensés et analysés dans ce rapport sont ceux qui nous ont été communiqués ou qui ont fait l’objet d’une plainte pour racisme. Les chiffres repris dans cette analyse reflètent bien sûr une tendance et non une photographie exacte dans l’antisémitisme en Belgique.

Comme la Communauté juive en a fait la tragique expérience le samedi 24 mai 2014 après l’attentat contre le Musée Juif de Belgique, l’antisémitisme ne se quantifie pas seulement par les chiffres mais aussi par la nature des incidents recensés.

Tant que les membres de la Communauté juive se sentiront, à juste titre, en insécurité, tant que les institutions juives auront besoin d’être protégées, tant qu’ils ne pourront pas circuler comme tout citoyen belge en toute sécurité lorsqu’il arbore un signe apparent de judaïté (kippa, étoile de David…), l’antisémitisme devra être combattu et les autorités politiques devront y mettre tous les moyens.


Sinds 2001, identificeert Antisemitisme.be antisemitische handelingen in het hele Belgische grondgebied, en publiceert jaarlijks een verslag over antisemitisme in België.

In dit document vind u onze werk methodologie en een analyse van het afgelopen jaar.

Incidenten geïdentificeerd en geanalyseerd in dit verslag zijn ofwel gecommuniceerd of dat het onderwerp van een klacht over racisme zijn geweest. De cijfers in deze analyse, zijn zeker als gevolg van een trend, maar geven niet een nauwkeurig beeld van antisemitisme in België.

Antisemitisme kan niet worden gekwantificeerd in aantallen, maar ook door de ernst van de incidenten, zoals de tragische ervaring die de Joodse gemeenschap zaterdag 24 mei, jl. heeft mee moeten maken.

Zolang de leden van de Joodse gemeenschap zich terecht onveilig voelen, de Joodse instellingen beschermd moeten worden, ze niet in staat zijn om veilig te bewegen net als elke andere Belg wanneer ze enig duidelijk teken van joodse identiteit (Kippa, Ster van David, …) dragen, moet antisemitisme bestreden worden en de politieke autoriteiten moeten alle middelen in deze strijd zetten.